Histoire rapide[]
Le village existe depuis longtemps, il est cité dans une donation de Pépin le Bref à l'abbaye de Saint-Denis. Là encore, cette donation supose un hameau en bordure de fôret avecun vaste territoire était à défricher et à exploiter. La paroisse même date du XIIIe siècle, à l'écart de l'actuelle N10.
Coignières a joué un rôle important comme étape sur la route reliant Paris à Chartres. Un relais de poste fut installé à la fin du XVIIIe siècle, atténuant ainsi l'étape trop longue entre Trappes et Rambouillet. De nombreux restaurants et auberges ouvriront ensuite.
L'urbanisation rattrapera Coignières au cours des années 80, par la constitution de nombreux ensembles commerciaux et pavillonnaires. La route suivra cette modernisation en étant transformée en une 2x2 voies.
Au long de la route[]
Extrait Atlas Trudaine
Peu de lieux intéressants se démarquent, la modernisation du secteur a enlaidi les alentours et auparavant ne se trouvaient que des batiments fonctionnels, propres à ravitailler les voyageurs. Il existe toujours une Auberge de la Poste qui revendique l'héritage de l'ancien Royals, mais bizarrement, l'Atlas Trudaine signale ce relais comme étant de l'autre côté de la route. Le relais fut établi en 1706.
De nombreuses auberges parsemaient la route, telles l'hotellerie de l'Agiot, où les établissements des hameaux du Gibet et de la Maison Blanche, qui proposaient également de nombreux points de restaurations aux voyageurs.
Vues de la route[]
| L'auberge de la poste... qui existe toujours.
Vue actuelle : [1] | |
| Idem pour cette auberge. Hors de question par contre de déjeuner en bord de route.
Vue actuelle : [2] | |
| Vue vers Versailles.
La ferme sur la gauche est très certainement l'ancien relais de poste. Tout a été balayé par l'agrandissement de la route. Vue actuelle : [3] | |
| Le capucin Gourmand, lui, n'aura pas réussi à tenir.
Vue actuelle : [4] Il semblerait que ces maisons soient condamnées à court terme. | |
| Un autre restaurant n'ayant pas survécu...
Vue actuelle : [5] |
